HOMMAGE A PHILIPPE NOIRET, DISPARU HIER. Extrait du « Vieux fusil », avec Romy Schneider 1944. Julien Dandrieu, chirurgien, soigne parfois des résistants. Menacé par la milice, il envoie sa femme et sa fille à l'abri dans son chateau à la campagne. Il les retrouvera odieusement assasinées, comme tout le village, par les nazis. Connaissant parfaitement les lieux, il entreprend de tuer un à un les meurtriers.... Dans cet extrait il ment même aux resistants pour continuer sa vengeance seul.
publié par U cuccu @ 11:39
5 commentaires
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Oui, une pensée émue pour cette grande personnalité du cinéma français et pour son épouse Monique Chaumette. "Le vieux fusil", a été le premier film à recevoir en 1975, le César du meilleir film français de l'année. Il rejoint ainsi au panthéon du 7e Art, sa partenaire Romy Schneider, à qui la Cinémathèque d'Amsterdam consacrera à l'été 2007 une grande rétrospective...
Un acteur à l'ancienne qui a galéré avant de connaitre le succés.le TNP avec Vilar(pas cher payé) puis le numéro de duettiste avec Daras à courir le cacheton dans 3 où 4 cabarets par soirée(le Don Camillo ,l'Echelle de Jacob...etc) au cinéma un bon rôle dans un Varda de 56 mais c'est avec le rôle du tonton de Zazie,de Malle qu'il débutera sa magnifique
carriére.ça nous change des carriéres(souvent éphémère) de ses godelureaux qui ont un premier rôle à 20 ans qui viennent se la jouer chez Denisot et autres.shane
Oui, il est très bien dans ''Zazie...'', mais le film a beaucoup vieilli (je l'ai revu récemment, copie restaurée de la Cinémathèque Française...)Je me souviendrai surtout de lui dans les films de Tavernier, et plus particulièrement ''Coup de torchon'' et ''La vie et rien d'autre''. Du même acabit, il nous reste maintenant l'extraordinaire Jean Rochefort (lui aussi né en 1930)... Tucchemu u legnu!!!
Et tuchemu u legnu pour Rich et Marielle.Ils étaient bien copains ces 4.A propos de Rich et des"Copains" le sermon de Noiret est un beau morceau!shane
Oui, bien vu. Et ils n'arrêtent pas de tourner ces deux-là, toujours verts! J'avais adoré la critique de Libération sur le ''Da Vinci Code'' qui disait que dans la scène d'ouverture, Jean-Pierre Marielle courait ''à s'en péter le ménisque'':-)))
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