25 juillet 2007

Les semaines passent
encore plus vite l'été.

5 commentaires:

À 17:45 , Anonymous Anonyme a dit...

yqbjToutes ces toiles sont belles,belles ,trop belles.J'ai des doutes.Ont'ils donné leur addresse pour le contrôle anti dopping et le suivi?. Y' a t'il des contrôles sur le site? Je l'espère car nous voulons une peinture propre,propre....
Paghiola.

 
À 20:09 , Blogger Jacqueline a dit...

Un grand BRAVO à tous ces artistes. Ils peuvent rivaliser avec "certains peintres" (mais qui n'ont de peintre que le mot), car parfois, on peut tourner le tableau dans tous les sens, c'est incompréhensible. Le pire, mais dans un tout autre genre, il y a un artiste qui a osé exposer "son oeuvre" au CAPC à Bordeaux......un tas de charbon...personne n'avait rien compris & n'a toujours pas compris à ce jour.
Par contre certain "comment" politique n'avait aucune relation avec cette expo. Je veux bien croire que vous avez la chance d'avoir du soleil en Corse, mais alors il faudrait que certains pensent à mettre un chapeau avant de sortir......Ils ne savent pas qu'organiser ce genre de manifestation ne se décide pas la veille pour le lendemain, et que cela demande beaucoup d'investissement. De ce fait, certains évènements malheureusement tristes, ne peuvent se prévoir à l'avance.
ENCORE BRAVO A TOUTE L'EQUIPE DE OPERA RUTALI

 
À 00:45 , Anonymous Anonyme a dit...

j'ai fait un commentaire sur le devoir de mémoire et de ceux qui la ramème et de leur pedigree.Problème Cuccù? Il n'est pas passé.Ils vont encore écrire en Corse longtemps? car ils ne connaissent le Français que pour leur pensions d'invalidité et autre prébendes du conseil général.. Scamaroni

 
À 01:40 , Anonymous Anonyme a dit...

Voici un joli conte africain à méditer...

C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le
désert. À un moment, ils se disputèrent et l'un des
deux donna une gifle à l'autre. Ce dernier, endolori
mais sans rien dire, écrivit dans le sable : «
Aujourd'hui mon meilleur ami m'a donné une gifle ».
Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis,
dans lequel ils décidèrent de se baigner. Mais celui
qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le
sauva. Quand il se fut repris, il écrivit sur une
pierre : «Aujourd'hui mon meilleur ami m'a sauvé la
vie ».
Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami
lui demanda : « Quand je t'ai blessé tu as écrit sur
le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre.
Pourquoi? »
L'autre ami répondit: « Quand quelqu'un nous blesse,
nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du
pardon peuvent l'effacer. Mais quand quelqu'un fait
quelque chose de bien pour nous nous devons le graver
dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer ».
Apprends à écrire tes blessures dans le sable et à
graver tes joies dans la pierre.
..............

 
À 08:15 , Anonymous Anonyme a dit...

Attention Dumé,si tu est élu maire et que tu entames les négociations de réconciliation,ne les fait jamais sur un pont qu'il soit un ou deux.
Tanguy du Châtel

 

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