23 avril 2008

6 commentaires:

À 08:47 , Anonymous Anonyme a dit...

Aller à Canossa..vous vous rappelez ce pauvre Henri IV de Germanie,nous on a remis ça au goût du jour avec Raffarin et Poncelet.Pauvre France, il est loin le temps ou pour une histoire de chasse mouche ,on a fait suer le burnou pendent 130 ans.bc

 
À 09:58 , Anonymous Anonyme a dit...

quelle honte ce gouvernement et je suis même prés a parier que le "président bling.bling" se fera une joie d'assister à l'ouverture des J.O

Quand j'étais petit ,je n'étais pas grand . je montrais mon ... pourrais très bien correspondre à l'attitude de sarko vis à vis des chinois.
wb

 
À 20:11 , Anonymous Anonyme a dit...

un grand merci à l'homme à la bmw grise d'avoir pris le temps de remettre sur ses pieds le container à verre du pantani,de mettre les bouteilles ,que des gens avaient laissées divaguer sur la voie publique, dans ce même
container .
personne d'autre n'y avais songé, y compris moi .
est-ce bête!
wb

 
À 22:39 , Anonymous Anonyme a dit...

LA CHASSE...
Par un beau jour d'automne 1820, le duc de Mirnouf, passionné par la chasse mais frustré par le maigre gibier qu'il ramenait de ses pérégrinations forestières, imagina qu'il devait être possible de fabriquer un outil apte à lui faciliter la tâche et rendre plus plaisante sa traque des animaux.

Il convoqua tous les artisans de la contrée pour mettre au concours la concrétisation de cette idée et leur laissa deux mois pour fabriquer le plus inventif et le plus efficace des appareils.

A peine une semaine plus tard, un marchand du nom de Martin Écouille se présenta au château, clamant à qui voulait l'entendre qu'il possédait ce dont le duc rêvait.

Il obtint sans peine une audience auprès du noble et s'empressa de lui faire la démonstration de sa merveille.

Devant une assemblée dubitative mais curieuse, il sortit de sa poche un minuscule sifflet et le porta à la bouche pour produire un son strident qui aussitôt imposa le silence parmi les personnes présentes.

A peine quelques secondes plus tard, des dizaines d'oiseaux de toute sorte s'étaient approchés et virevoltaient autour de lui, comme attirés et charmés par cette étrange mélodie.

Le duc imagina sans peine le profit qu'il pouvait tirer d'un tel accessoire lors des ses futures chasses.

Il s'éclaircit la gorge et ne prononça qu'une seule phrase :
- Combien cela va-t-il me coûter ?
Martin Écouille, sûr de lui, répondit qu'il accepterait de se séparer de son objet en échange de la moitié de la fortune de son interlocuteur.

Cette requête fit sourire l'assemblée mais le duc garda tout son sérieux et accepta la transaction.

La nouvelle fit grand bruit et se répandit vite, bien au delà des limites du duché... Un marchand avait vendu un sifflet pour une somme astronomique au Duc qui en avait payé le coût sans broncher.

On ne sait plus aujourd'hui ce que le marchand est devenu par la suite et l'objet n'a hélas pas survécu aux années mais cette anecdote a subsisté dans la langue française pour qualifier les objets hors de prix :

- "coûter l'appeau d'Écouille".

;-)

 
À 13:59 , Anonymous Anonyme a dit...

Lazare,Aimé,Germaine,mais pourquoi veulent t'ils tous les mettre au Panthéon?,ils n'ont pas de caveaux ces braves gens?
En fait Césaire je le préterait un peu à Poutine, car la place Rouge est bien triste depuis qu'ils ont viré Lénine et Staline.Et puis avouez que Césaire sur la place rouge,il y a là un petit coté Sthendalien trés plaisant.
Charcot.

 
À 08:43 , Anonymous Anonyme a dit...

Allez sur le blog de JL Mélanchon
sa vision de la crise Thibétaine vaut le détour.Certes le vieux républicain que je suis à une méfiance viscérale de la théocratie,mais sa conception mélanchinesque de l'épuration éthnique et du nouveau Kossovo n'est pas piqué des vers.... bc

 

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