31 janvier 2010

Salute . 1 cm de neige . A 11 heures il ne neige plus . La température est de 1°. C.P
Proverbe pantanesque : "S'il neige le 31 janvier, le lendemain c'est Février ."

Il neige, 0 degré à 10 heures.

30 janvier 2010

1735
 le 30 janvier Independenza Le 30 janvier 1735, à Orezza, des insurgés corses tentent de s'émanciper de la tutelle de Gênes et publient une déclaration d'indépendance. Leur action séduit et inspire les élites françaises et celles... des treize colonies anglaises qui deviendront plus tard indépendantes sous le nom des Etats-Unis !

Une prestation hilarante JACQUES VILLERET DANS «PAPY FAIT DE LE RESISTANCE»

29 janvier 2010

ENNIO MORRICONE et ses «grands airs" Le seul compositeur de musique de film aussi célèbre que le metteur en scène

OEUFS A LA NEIGE, FAÇON «CASTAGNICCIA» (une recette de Valerie Szewwczyk) Pour 4 personnes : 50 cl de lait 4 oeufs 120 g de sucre en poudre 1 pincée de sel 1 petite boîte de crème de marrons 3 marrons glacés fleurs de bleuet séchées Préparation : 20 mn Cuisson : 5 mn Temps total : 25 mn 1. Dans une casserole, portez le lait à ébullition. 2. Séparez les blancs des jaunes puis battez les blancs en neige avec une pincée de sel. Quand ils sont presque fermes ajoutez progressivement 40 g de sucre en pluie. A l'aide d'une cuillère parisienne, faites des petites boules et déposez-les sur le lait chaud et laissez cuire 1 à 2 minutes en les faisant tourner. Déposez-les sur un papier absorbant. 3. Fouettez les jaunes avec le sucre pour les faire blanchir puis versez le lait encore chaud en remuant. Versez le tout dans une casserole et faites cuire à feu moyen jusqu'à ce que la crème nappe votre spatule. Versez ensuite la crème de marron et mélangez pour obtenir une crème bien lisse. 4. Quand la crème est bien froide, mettez-la dans des petits verres, déposez trois ou quatre boules de neige puis émiettez des brisures de marrons glacés et pour le décor ajoutez quelques petites fleurs séchées.

28 janvier 2010

Louise demande: "De quel mariage s'agit-il ?"

Parlons-en: LES DEPASSEMENTS D’HONORAIRES Depuis quelques jours, je suis confronté à un problème: je dois subir une petite intervention bénigne et je découvre avec effarement la pratique nouvelle, mais largement répandue, que les médecins appellent pudiquement le «dépassement d’honoraires». Je ne vous cacherai pas que je suis assez choqué par ces pratiques, qui me paraissent socialement injustes, qui transforment la médecine en marchandise, et polluent le rapport entre patient et médecin en introduisant une véritable négociation financière, de maquignon, dans un dialogue qui devrait rester centré sur la pathologie et les soins, dans un climat de totale confiance. Pour leur défense les médecins disent que la sécurité sociale sous-estime la valeur de leurs prestations et que des mutuelles prennent en charge ces dépassements. Ce n’est pas le cas de toutes les mutuelles, pas de la mienne en tout cas... Mais c’est pour moi une question de principe: la santé est maintenant considérée comme un marché, la médecine une prestation de services comme les autres et la fixation des tarifs: à la tête du client ! Alors, puisque en médecine aussi nous sommes dans un régime de libéralisme sauvage, il faut faire son marché et chercher tout seul le meilleur rapport qualité-prix. Sauf que, à Bastia, d’après ma propre enquête, les spécialistes concernés pratiquent tous le dépassement, à des montants très voisins (comme l’essence à la pompe...), qu’il faut s'éloigner assez largement de la ville pour trouver un praticien qui se contente des tarifs officiels de la Caisse d’Assurance-Maladie et comme le patient n’a pas les moyens de juger de la qualité de la prestation des uns et des autres, le côté pervers de la situation fait qu’il en arrive à se demander, lorsqu'un médecin ne demande pas de surplus de rémunération, si ce n' est pas parce qu'il est moins bon que les autres. Alors que tout bonnement il peut agir par un souci éthique louable. Voilà où nous en sommes... Et vous, avez-vous été confronté à ce type de situation, que pensez-vous de cette pratique, comment réagissez-vous... Parlons-en.

27 janvier 2010

Amusant et très réaliste SIMULATION D'ATTERRISSAGE A CAMPO DELL'ORO (Ajaccio)

26 janvier 2010

1945
Italiquele 27 janvier Libération d'Auschwitz Le 27 janvier 1945, les troupes soviétiques découvrent le camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau. Ils sont accueillis par 7.000 détenus survivants. Ce jour-là, le monde médusé découvre la Shoah dans toute son horreur. Dans le seul camp d'Auschwitz, où sévissaient 3.000 SS, on arrive en 1944 à exterminer et brûler les déportés au rythme de 600 par jour. Un médecin diabolique, Josef Mengele, s'est rendu célèbre en pratiquant dans ce camp des expériences insoutenables sur les déportés. Près de deux millions de personnes ont été tuées à Auschwitz pendant la Seconde Guerre mondiale.

Les seigneurs de Bagnaghja.

Nous continuons nos investigations sur le Moyen Âge et les seigneurs de Bagnaghja - ou Bangnaria, Bagnaia, Bagnaggia - qui ont dominé de Lavasina au col de Canevaggia di Lento au XIIIe siècle selon le chroniqueur Giovanni della Grossa (1388-1464).

Bagnaggia se trouvait, dit-il, « au-dessous de l’endroit où est aujourd’hui la route de Borgo, village qui à ce moment-là n’existait pas encore ». Les historiens situent ce lieu non loin de Borgu. Toutefois nous n’y avons pas trouvé de toponyme sous cette appellation. Est-ce le lieu-dit Banianinco qui figure sur le plan Terrier établi vers 1773 ? Il faut se mettre en tête la route de Borgu durant la première moitié du XIVe s. Ghjuvanni di A Grossa, notaire à Biguglia, a voulu peut-être indiquer Ortale car à cette époque, il y avait d’autres chemins de communication. Pourquoi pensons-nous à l’Ortale ? Il y a là les lieux-dits Bagnascu et Castellu et même une bâtisse appelée U Palazzu datée de la fin du XVIIe avec Felice Rutali ou début du XVIIIe siècle avec ses enfants. Ils ont pu reprendre une appellation plus ancienne avec une reconstruction et alors nous aurions à Ortale le « palatium » des Bagnaghja du XIIIe.

La Chronique de Giovanni della Grossa a été traduite par l’Abbé Letteron en 1888 au BSSHNC et incluse dans le tome I de l’ Histoire de la Corse, réédition par Laffitte reprints en 1975 (d’où la photocopie de l’illustration). Mathée Giacomo-Marcellesi et Antoine Casanova publient en 1998 en version originale et traduction française « Giovanni della Grossa, Chronique médiévale corse ». Le seigneur « Giovanni de Bagnaggia », pour s’opposer à Orlando, fit construire un castrum ou château à Biguglia où un village commença à se former. Orlandu de son côté construisit un château à Pietr’all’Aretta (Petra à Lorecta ou Petra Loreta, Petrallaretta, aujourd’hui Campucassu de Vallecalle). Giovanni pour combattre également les Avogari de Brandu qui s’étaient fortifiés sur la Petra à Lavasina, fit construire un château à Belgodere que les historiens situent près de Bastia ou plus précisément au fort de Monserrato (Antoine- Marie Graziani dans son livre Description de la Corse par Agostino Giustiniani, aux éditions Alain Piazzola 1993). Toutefois nous nous interrogeons sur cette localisation car Mgr Giustiniani en parlant du fleuve Bivincu dit qu’il se jette dans l’étang de Chiurlino (Chjurlinu) ou de Belgodere. Aussi, un autre lieu-dit Belgodere a pu exister et se situer dans les environs d’Ortale.

L’historien Daniel Istria a publié aux éditions Piazzola en 2005, Pouvoirs et fortifications dans le nord de la Corse, XIe – XIVe siècle. Y figure en annexe le texte latin de l’acte d’allégeance d’Alberto et autres nobles de Bangnaria à Pise en 1247. Il y a le nom de leurs châteaux ou castra : Bigullia, Stella, Montechiaro (sur le versant nord de la vallée du Golu d’après les historiens), Furiano (pour moitié), Cruce, Patrimogno (pour un tiers). Il y a aussi le palatium de Burgo avec des tours (turribus) et domibus (maisons). Belgodere n’est pas cité. Ce palais de Borgu, où était-il ? L’histoire de Ghjuvanni di Bagnaghja et de son rival Orlandu, est antérieure à 1247. Orlandu a été tué par les Bagnaninchi. Ghjuvanninellu frère d’Orlandu l’a vengé en tuant Ghjuvanni. Or nous avons dans le livre de Scalfati, La Corse médiévale, dans sa transcription du cartulaire de l’évêché du Nebbiu, la trace de Ghjuvanninellu alias Dominus Iohannes de Lorecta qui était en 1235 « bailiadore de lo comune e de la rasone (= ragione) » c’est-à-dire détenant l’autorité absolue de la justice. Ghjuvanninellu était tout jeune puisque on le retrouve en 1289 dans son allégeance à Gênes et treize châteaux en fief. Est-ce dans les années 1235 qu’il a vengé son frère ? Giovanni della Grossa dit que Borgo n’existait pas lors de cette guerre entre Ghjuvanni et Orlandu. Alors, soit U Borgu s’est développé dans les années suivantes et on comprendrait le mot Burgo de 1247, soit le bourg désigne Ortale. De toute façon, il faudra localiser ces tours à proximité. Stella est compté à part. Les lieux-dits d’Ortale : Bagnascu, Castellu, Carcu, E Mammelle (Monte Grosso sur les cartes IGN) et Erbaghjolu ou Purettu sur territoire de Rutali, de là via Chjarasgetu grimper vers un autre castellu (signalé dans l’ancien cadastre au dessus de A Madia ou Meria) et A Turricella près de Santa Chjara. Ce castellu est-ce A Turretta sur territoire de Borgu et près de Petrallarata sur commune de Rutali. Un autre lieu-dit U Icariu (l’icaru est l’arum sauvage) près de Pentafessa (près des Missoghji ou U cigliutu) au-dessus d’Ortale et Erbaghjolu, pourrait être en réalité U Vicariu, titre donné au délégué du gouverneur dont Luchetto d’Oria vainqueur des seigneurs en 1289 ou titre donné après 1370 aux seigneurs Cortinchi soumis, gratifiés de cette charge par les Génois.

Louis Giacomoni.

25 janvier 2010

Voici Adam:

né Lundi le deuxième fils d'Antoine et Zara Flori portera le nom du premier homme

TRUCS D’IVOIRE…

L’ivoire est un matériau vivant dont il convient de prendre soin. Nul besoin pour cela de produits chers ou introuvables...Voici quelques trucs pratiques pour redonner couleur et brillance d’origine à de l’IVOIRE ancien (objets, bijoux, touches de piano, incrustations…).

_ Faire tremper les objets en ivoire dans un bain de lait puis les faire sécher au grand air. Cette méthode est particulièrement adaptée aux sculptures. _ Les laver à l'eau claire additionnée de bicarbonate de soude (100 g/l d'eau). _ Plonger l'ivoire dans un bain d'eau oxygénée à 120 volumes ou dans un bain d'essence de térébenthine. Cette méthode ne vaut que si l’on a la possibilité de laisser sécher l'ivoire pendant trois ou quatre jours au grand air.

_ Fabriquer une pâte en mélangeant du blanc d'Espagne ou de Meudon et de l'alcool ménager. Appliquer sur l'ivoire. Essuyer sans attendre. Rincer à l'eau claire puis essuyer à nouveau.

_ Nettoyer l'ivoire avec du jus de citron. Certains vous diront même de rajouter un petit peu de sel : attention, la méthode est trop agressive et n'est pas recommandée ! _ Toutefois la méthode la moins agressive recommandée par Mme Colette* ivoirière à Dieppe – jointe par téléphone – consiste à nettoyer les objets en ivoire à l'eau tiède et au savon. Essuyer minutieusement à l’aide d’un chiffon doux et sec puis astiquer avec une peau de chamois. Si les objets sont très sales, les faire tremper au préalable dans du lait puis nettoyer avec une brosse douce.

* : Mme Colette déconseille toute méthode agressive et notamment l’usage du citron ou de l’eau oxygénée qui risquent d’attaquer l’ivoire !

Astuce : Pour éviter que vos objets en ivoire ne jaunissent trop rapidement, frottez-les avec un chiffon enduit de vaseline.

Attention : Éviter les expositions prolongées au soleil qui font jaunir l'ivoire.

La sécheresse est le pire ennemi de tout objet en ivoire. Il est recommandé d'humidifier l'air de votre appartement si vous ne voulez pas les voir se fendiller ou se casser. Expressions : On dit couramment « s’enfermer dans sa tour d’ivoire » = s’isoler, refuser tout contact ou tout engagement.

Une « porte d'ivoire » c'est la porte des songes trompeurs (empruntée par Énée pour quitter le monde souterrain dans l'Énéide de Virgile).

Dans le folklore français, les « noces d'ivoire » symbolisent les 14 ans de mariage (ou 62 ans selon les versions).

NOTA : Depuis 1976, la convention de Washington interdit le commerce de l’ivoire dans le monde. Cependant, les ivoiriers français actuels acceptent de travailler l’ivoire à condition qu’il soit accompagné d’un certificat authentifiant son acquisition avant 1976 (dixit Mme Colette).

24 janvier 2010

UNE BELLE VUE AÉRIENNE DE BASTIA

23 janvier 2010

Dominique Tison, photographe des orages

Sur le sentier, le travail continue
Samedi matin, Marie-Ange, Jean-Louis, Paul, Xavier et César, ont posé deux nouveaux panneaux précisant la direction et le chemin du magnifique belvédère des Pughjali .

Le festival du cinéma Italien de Bastia se déroulera du 6 au 13 février 2010.

 Tous les ans, Bastia accueille ce festival pour le plus grand plaisir des spectateurs. Le plus large public, petits et grands, viennent y découvrir le cinéma Italien sous plusieurs formes. Autour des projections de films d’auteurs confirmés tels que Ettore Scola, Dino Risi, Michelangelo Antonioni, le festival organise de nombreuses animations. Au programme : Expositions, animations musicales et gastronomiques, conférences et débats…

LA GRILLE DU SAMEDI

Découverte il y a peu chez Taddéï, ré-entendue ce soir chez Naguy cette jeune chanteuse franco-berbère a de la voix et de la personnalité, devrait tracer.. HINDI ZAHRA

Ils en ont eu marre de poser pour Fulettu

22 janvier 2010

DÉCÈS Nous relevons dans les avis de décès de Corse-Matin, celui de
Madame Anne-Marie ALBERTINI née ROCCHI,
survenu le 20 janvier, à l'âge de 97 ans . Les obsèques seront célèbrées le samedi 23 janvier à 10 heures en l'église de Loretu di Casinca . Les condoléances seront reçues à son domicile de Loretu di Casinca, où le corps est déposé . La défunte était la mère de Madeleine , l'épouse de Patrick CASANOVA . Nous leur présentons ainsi qu'à leurs enfants, petits enfants et leurs proches nos sincères condoléances .

Nantu a strada di Rutali,a nostra vita ghjè in periculi. Ghjanpa

POINT CONTACT DE LA POSTE: Un point contact la poste sera installé le 4 Mai prochain, au bar " à Funtana " chez notre ami José Mazzoni . Les clients, pourront retirer jusqu'à 150 euros par semaine, acheter des timbres, des enveloppes timbrées, retirer ou déposer des colis,déposer du courrier . Il sera ouvert tous les jours samedi inclus, les horaires étant à préciser . C'est le premier point contact qui sera ouvert en Corse . C.P

LE PETIT PRODIGE DE LA GUITARE MANOUCHE: SWANN BERGER, 12 ANS

Une belle photo de famille, réussie par Fulettu

21 janvier 2010

Une entrée sympathique: Poisson fumé aux lentilles Nb de personnes : 4 Préparation : 10min Cuisson : 30min INGRÉDIENTS 700 g de cabillaud fumé
 250 de lentilles vertes
 2 oignons
 2 clous de girofle 
1 gousse d'ail
 1 carotte 
1 branche de céleri
 1 bouquet garni
 1 citron
 Pour la vinaigrette :
 1 dl de vinaigre de vin, 
1,5 dl d'huile d'olive,
 1,5 dl d'huile d'arachide 
40 g d'échalotes hachées,
 3 branches de cerfeuil,
 150 g de fines herbes (ciboulette, estragon),
 150 g de persil plat
 2 tomates coupées en dés, salade verte de saison sel, poivre
 Faites cuire les lentilles dans une grande quantité d'eau froide pendant 25 à 30 mn, avec les oignons piqués de clous de girofle, la carotte, le céleri, le bouquet garni et l'ail. Salez seulement en fin de cuisson. Egouttez.
 Taillez le cabillaud en fines tranches, badigeonnez-les d'huile d'olive, arrosez d'un jus de citron, salez, poivrez. Faites cuire à feu doux 1 mn à la poêle. Dans un bol, préparez la vinaigrette avec tous les ingrédients cités.
En ajoutant les tomates, quelques feuilles de salade, répartissez sur des assiettes individuelles les lentilles et le cabillaud. Nappez de sauce.

Finalement, je crois que je préfère celle-ci
(cliquez pour agrandir)

Un magnifique tango, magnifiquement dansé: «POR UNA CABEZA» dansé par un ancien militaire aveugle (Al Pacino) qui «sent» les femmes depuis qu’il ne les voit plus. C’est la scène-culte de «PARFUM DE FEMME» (version Hollywood)* * Je sais, je l’ai déjà passé, mais j'aime !

Alain est passé un peu plus tard... Sur le vieux port de Bastia, la nuit.

La nuit tombe sur le vieux port...

20 janvier 2010

20 Janvier 1942 MISE AU POINT DE LA "SOLUTION FINALE" Le 20 janvier 1942, une quinzaine de dignitaires nazis et d'officiers SS se réunissent dans une villa d'un faubourg huppé de la capitale allemande, au bord du lac de Wannsee . Ils mettent au point la déportation des Juifs de l'ouest de l'Europe vers les camps d'extermination situés en Pologne. L'extermination des juifs européens a été entamée de diverses façons depuis plusieurs mois déjà en Europe de l'Est, par la réduction à la famine des juifs cloîtrés dans les ghettos et par les fusillades en masse dans les territoires polonais et soviétiques enlevés à l'Armée rouge. Comme les Allemands jugent ces méthodes impraticables à grande échelle dans les pays ouest-européens occupés par leurs troupes, ils vont mettre en place de nouvelles méthodes plus discrètes. Au génocide par la faim et au génocide par balles va s'ajouter le génocide par le gaz. La «conférence de Wannsee» est une réunion d'une heure et demie au cours de laquelle Reinhard Heydrich, le chef des services de sécurité allemands - SD et le RSHA -, expose les modalités de la «solution finale de la question juive» . Cette expression énigmatique recouvre rien moins que le projet de déporter et d'exterminer tous les Européens israélites ou considérés comme tels par les nazis. Le souvenir de la réunion s'est conservé car l'un des participants, le sinistre Adolf Eichmann, en a dressé le procès-verbal écrit. Le procès-verbal de l'innommable Le procès-verbal de la réunion par Adolf Eichmann répertorie le nombre de Juifs à déporter, pays par pays (aussi bien les 200 Juifs d'Albanie que les 5 millions de Juifs d'URSS !), arrivant à un total de 11 millions. Il évoque par ailleurs, et c'est le plus grave, le traitement promis à ces communautés, en détaillant les modalités logistiques mais en se gardant toutefois de parler de la mort, selon la traduction qu'en donne l'historien Édouard Husson. Ainsi peut-on lire : «Au cours de la solution finale, les Juifs de l'Est devront être mobilisés pour le travail avec l'encadrement voulu. En grandes colonnes de travailleurs, séparés par sexe, les Juifs aptes au travail seront amenés à construire des routes dans ces territoires, ce qui sans doute permettra une diminution naturelle substantielle de leur nombre. Pour finir, il faudra appliquer un traitement approprié à la totalité de ceux qui resteront, car il s'agira évidemment des éléments les plus résistants, puisque issus d'une sélection naturelle, et qui seraient susceptibles d'être le germe d'une nouvelle souche juive, pour peu qu'on les laisse en liberté (voir l'expérience de l'histoire). (...) Les Juifs évacués passeront d'abord, convoi par convoi, par des ghettos de transit, et de là seront transportés plus loin à l'Est...» (*). Hitler et ses hommes de confiance avaient pour règle de ne jamais ordonner quoi que ce soit par écrit, d'où le caractère rarissime de documents comme celui-ci, concernant la dictature hitlérienne. (Extrait de Hérodote)

Lorsque le vent souffle sur la côte ouest...
A Galeria- Photo Eric Jehl

Qui se souvient de cette photo et de cette occasion ?

A VENIR. LE DERNIER ROBIN DES BOIS de Rydley Scott avec Russel Crowe Je me souviens encore de celui avec Errol Flynn

19 janvier 2010

A la demande de Céline, fille de Francoise Finochy, voici, bien volontiers: «AMERINDIANU» par le groupe Diana di l’Alba

Une poignante et magnifique chanson des frères Vincenti, chantée par Antoine Ciosi et A Filetta L’ALTRU MONDU

A Casaccia d’Erbaghjolu ou l’ancien castrum de Purettu.

Erbaghjolu à l’est de la commune, en dessous du Monte Purettu, le long de l’antique chemin d’Ortale à Rutali. La commune de Rutali confine avec celle de Biguglia non loin de là au ruisseau de la Tendigliola. Sur les rochers se dresse une vieille maison en ruine appelée A Casaccia mais aussi A Torra. Tout près un pagliaghju et des terres anciennement cultivées appartenant, après les partages, à ma sœur Mme Salducci Julie-Marie. Plus bas, une maisonnette recouverte de chaume puis vers l’actuelle route départementale, d’autre terres anciennement cultivées.

Nous croyons identifier ces lieux en l’acte ci-dessus établi à Porto Cardo de (la) Bastia par le notaire Pretioso Leandri, dans son ceppu ou registre VIIe allant du 30 septembre1633 au 28 avril 1634. On y apprend que le lundi 7 novembre 1633, messer Filippo Gugliermini della Bastia donne à Piero Francesco della Guatella quondam Simon Francesco des terres dans la presa et territoire d’Erbagiolo (Erbaghjolu) à cultiver. Il s’agit de cinq portions ou morceaux de terrain dont un à mochieta (soit signifiant muchjetu maquis de cystes soit machjetu où pousse du maquis) un à la casarella (la maisonnette en toit de chaume ?) deux à la lenza longa (en montant d’Ortale, de la route on voit un allongement de terrain qui pourrait être cet endroit), un à la casaccia ou vieille maison abandonnée. Pier Francescu devra le terraticu c’est-à-dire la redevance au propriétaire du terrain. On ne dit pas dans quelles proportions de la récolte mais il est précisé que cela se fera selon les habitudes (conforme al solito) du lieu (loco).

Le titre de messer soit messire donné à Filipppu Guglielmini était donné aux descendants des anciens seigneurs. Il faut savoir que Guglielminu au XIVe siècle avait bâti sa maison sur les ruines de l’ancien château ou castrum de Purettu, un des treize châteaux en 1289 de son arrière grand-père Ghjuvanninellu Curtincu de Petra Loreta ou Petrallaretta dans le Nebbiu, château détruit lors de la révolte contre les seigneurs en 1358. Jusqu’à présent, les historiens situent ce château à Lama dans l’Ostriconi. Cependant, nous avons des indices qui corroborent notre hypothèse pour Erbaghjolu de Rutali. Le choix du lieu est propice, près d’Ortale où vivaient les seigneurs de Bagnaghja, alliés ou ennemis quelquefois, Erbaghjolu contrôlant le passage vers le Nebbiu sur le chemin de l’Ortale (en provenance de la Marana ancienne capitale romaine) à Rutali, dans la partie opposée du Lancone. Erbaghjolu constitue un des trois châteaux au-delà de la chaîne du Nebbiu, les deux autres étant à Montebellu sous Teghjime et à Petrabugnu.

En 2003, j’ai fait une visite de cette casaccia ou torra avec Jean-Baptiste Lucciardi et mon neveu Angeot Salducci. La bâtisse laisse deviner deux niveaux de construction car les murs n’ont pas la même largeur. La base plus ancienne et le dessus sont aménagés en maison. Il ne reste plus que des pans de murs. Les dimensions sont les suivantes : 5,30 m x 6, 70 m.

Ainsi, Le château de Purettu se situerait selon nous à Erbaghjolu. Signalons aussi qu’à proximité se trouve le lieu-dit Carcu, près de l’Ortale, autre toponyme qui pourrait être aussi la demeure de seigneurs et où les textes latins parlent d’une curtis.

Louis Giacomoni.

18 janvier 2010

L'association OPERA DI RUTALI vient de diffuser à ses adhérents, à jour de cotisation 2009, sa lettre d'information et sa nouvelle carte 2010. Elle nous demande de les publier également sur le blog, ce que nous faisons bien volontiers.

«PARIS S’EVEILLE» DUTRONC : Un type à part, décontraction, marginalité et un charme fou d’après les dames et les chats.

ORSULA ET LORENU: 60 ANS DE MARIAGE ! Ils viennent de les fêter à Madère chez leur fille Dominique Toutes nos félicitations!

TRUCS DE

JANVIER…

L'hiver est là et votre jardin hiverne doucement. A vous d'entrer en scène pour préparer les beaux jours ! C'est l'heure des premières tailles, de certains semis et des premières mises en place.... Des rosiers aux massifs en passant par les grimpantes et les vivaces, voici un tour d'horizon des tâches à faire.

ROSIERS : C'est le moment de planter les variétés de rosiers vendues à racines nues ou en conditionnement. Attention cette plantation doit se faire s'il ne gèle pas. Commencez la taille des rosiers buissons si vous ne l'avez pas faite depuis deux ans.

MASSIFS : Continuez à travailler la terre de vos massifs et profitez-en pour faire des apports de compost en le déposant à la surface du sol.

BULBES : Les bulbes de vos bégonias ou autres glaïeuls, même s'ils ne sont pas encore plantés, doivent recevoir la plus grande attention. L'humidité des abris dans lesquels nous les conservons a souvent tendance à les faire moisir.

BORDURES : Dès qu'il ne gèle plus, mettez en place vos haies et bordures s'il s'agit de plantes à feuillage caduc.

PLANTES À FLEURS : L'hiver les a souvent défigurées et il est temps de commencer à s'en occuper. Avec le gel, la terre de chaque pot a dû s'aérer. Rajoutez de la terre additionnée de terreau au pied de chaque plante et tassez bien pour comprimer les racines.

VIVACES : Coupez toutes les tiges fanées et éliminez toutes les plantes parasites des rocailles. Attention à ne pas écraser les bulbes disséminés dans vos massifs. Ils sont en pleine croissance ! Il est l'heure de planter les vivaces à floraison estivale.

LES PLANTES GRIMPANTES : Il est encore temps de les tailler mais n'attendez plus. C'est surtout le cas pour les vignes d'ornement ou les lierres.

CÔTÉ VERGER : Taillez pommiers, poiriers, vignes et autres arbres fruitiers à pépins s'il ne gèle pas trop.A l'aide d'une brosse à poils durs, frottez le tronc des arbres pour éliminer les parasites qui y hivernent. Puis traitez-les avec une huile blanche de paraffine.

[Source : maison-facile]

17 janvier 2010

Reconnaissez-vous ?

PREMIERE REUNION DE L'ATELIER-THEÂTRE
Michele Flori a réuni autour d'elle, Samedi à 17h, dans la grande salle du presbytère rénové, le premier groupe de futurs comédiens amateurs. Entre trac et motivation les 10 femmes et les deux hommes présents ont dit des textes, joué des courtes scènes et se sont essayés à l'improvisation. Pas facile parfois de se débloquer... mais l'envie est forte et dans quelques mois nous aurons sans doute le plaisir de les voir sur scène. Eux et celles et ceux qui ne manqueront pas de les rejoindre.

16 janvier 2010

«L’AFFREUX» STEPHANE GUILLON

LA VOICI, LA VOILA

15 janvier 2010

Ça fait un beau fond d'écran en 24" !

1622
 le 15 janvier Naissance d’un agitateur Jean-Baptiste Poquelin, plus tard ‘Molière’, voit le jour à Paris. Mondialement connu, il est devenu le symbole de l’esprit français, gouailleur et entêté, au même titre que Shakespeare en Angleterre ou Goethe en Allemagne. En quelques années - il meurt le 17 février 1673 d’une congestion pulmonaire à l'âge de 51 ans - il aura écrit 36 oeuvres dramatiques, initié ce qui deviendra plus tard La Comédie-Française, combattu les travers à la mode comme l’hypocrisie ou l’avarice, et suscité trois scandales parmi les plus célèbres de l’histoire des lettres : ‘L’Ecole des femmes’ (1662), ‘Tartuffe’ (1664) et ‘Dom Juan’ (1665) ont en effet provoqué les foudres de la société bien-pensante de l’époque. Molière n’a dû son salut qu’aux protections successives de Monsieur, frère du roi, et de Louis XIV lui-même.

Par ce temps maussade, Louise nous envoie quelques fleurs...

relevé par Fulettu

Ce Vendredi, une petite douceur: MOUSSE CROQUANTE AUX CREPES DENTELLE INGRÉDIENTS 100 g de pralin 
 30 g de chocolat noir
 50 g de crèpes dentelle 120 g de chocolat noir 
 25 g de beurre
 2 oeufs Faites fondre 100 g de pralin et 30 g de chocolat noir au bain-marie.
 Ajoutez 50 g de gavottes (crêpes dentelle) émiettées. Mélangez.
 Transférez le mélange sur une plaque recouverte de papier sulfurisé en l’étalant légèrement avec une spatule. Réservez dans un endroit frais. 
 Faites fondre 120 g de chocolat noir et 25 g de beurre au bain-marie. Retirez du feu et laissez tiédir quelques minutes.
 Ajoutez 2 jaunes d’oeufs et mélangez bien. 
 Fouettez 2 blancs d’oeufs en neige ferme et incorporez-les au chocolat en 3 fois. Incorporez le craquant aux gavottes émietté. Versez dans un bol et réservez au réfrigérateur pendant 3 h.